Recette :
Servi de préférence dans un verre refroidi et garni d'une touche de zeste d'orange.
Notes de dégustation :
- Couleur : rouge riche
- Au nez : arômes élégants et irrésistibles de baies et de vanille, avec une subtile nuance de noix de muscade et de chêne neuf, des notes de miel et de cire d'abeille
- En bouche : très aromatiques et pleins, rustiques et boisés, des notes douces-amères bien rondes, avec un mélange de vanille, de caramel et de cannelle, des nuances subtiles de clou de girofle et de fruits rouges
- Finale : douceur subtile qui s'estompe en une saveur acidulée très agréable
Histoire
1927 : Harry McElhone a été parmi les premiers barmans américains à quitter le pays. La prohibition l’a conduit à Londres et Deauville à Paris, où il a ouvert son légendaire Harry’s Now York Bar. En 1927, il publie dans son livre de recettes cette boisson signature de son client régulier, l'éditeur du magazine «Le Boulevardier».
A partir de 1890 : Avec une préférence pour les boissons sèches émergeant dans les années 1890, le sucré Old Tom Gin couramment utilisé a été remplacé par le London Dry Gin.
The Boulevardier N°11
Un verre grâce à la prohibition.
La prohibition a conduit le new-yorkais Harry McElhone à Londres puis à Paris, où il a ouvert son légendaire bar Harry's New York. Il y sert des boissons de pré-Prohibition et de nouvelles créations qu'il perfectionne avec des indredients européens, dont le BOULEVARDIER.
Ingrédients :
Bourbon, bitter italien, vermouth rouge
Teneur en alcool :
27% vol.